with no loving in our souls and no money in our coats.
nom :Volange / prénom :Clovis, simple, commun, peut-être même banal, mais ça te ressemble, tu t'amuses de tout ces petits garçons que tu croises dans le parc qui s'appelle comme toi, mais surtout des mères qui leurs donnes des ordres, toi qui n'en écoute aucun, Clovis fais-ci, Clovis fais ça, Clovis sois sage, Clovis sors de ma vie / date et lieu de naissance :24 novembre, en France / âge :Ton dos est traître, si on devait en juger par tes vertèbres, 70 ans serait l'âge qu'on te donnerait, mais tu n'es qu'un jeune homme de 22 ans qui travaille trop, assis sur une chaise de bureau, la lumière du plafonnier usagé par le temps te tenant à la vie / nationalitéFrançaise / métier :étudiant de STAPS, puis dans les couloirs des vestiaires les petites pilules ont commencé à circuler, et lui et quelques amis ont commencé à dealer hors de l'enceinte de l'université les produits dopants, c'est pas vraiment ton truc à toi, mais fallait bien que quelqu'un aide ta soeur, fallait bien que quelqu'un fasse tenir cette famille au père adolescent et la mère retournée dans le ciel /situation financière : Tu sais que l'argent ne fait pas le bonheur mais si tu pouvais en avoir un peu plus tu n'en serais pas plus malheureux, tu aimerais être celui qui fait toujours plaisir, qui peut soulager les portes-monnaie des autres, mais bien souvent tu prends sur toi, dépensant de l'argent que tu n'as pas à cause de tes maigres revenus / statut civile & orientation sexuelle :célibataire, le myocarde dans le brouillard / groupe :Spencer / avatar :Xavier Serrano
"Il parait que je peux faire des étincelles avec mes yeux, mettre le feu, ruiner par les flammes des vies entières. C'est ce qu'elle dirait de moi, j'en suis certain, imprévisible, ingérable, que c'est impossible de se reposer sur moi malgré ma loyauté sans faille. Je suis instable, incontrôlable, et je la vois encore bouger ses lèvres rouges pour me dire "c'est pour ça que tu veux tout contrôler car tu ne peux pas te contrôler toi même". C'est vrai que ma peau recouvre un corps de frustration, la frustration de voir le monde tourner avec ou sans moi, de ne pas être capable de maîtriser mes émotions, et surtout de ne pas avoir été capable de la retenir. Elle m'a dit qu'avant elle aimait mon sourire qui ne me quittait jamais, ma bonne humeur qui revenait vite malgré mes excès des mauvaises humeurs, que j'avais une ironie passagère qui se logeait au coin de mes lèvres dès que quelqu'un sortait quelque chose que je jugeais risible. Elle m'a aussi dit que tout ça je le l'étais avec les autres, mais plus jamais avec elle. Elle, elle disait que j'étais jaloux, possessif, invivable, toujours mal luné quand je ne voulais pas tout envoyer promener sur la lune. Que je ne riais plus, que je m'enfonçais dans mes défauts pour ne devenir plus qu’eux."
On te propose un verre et tu le déclines machinalement. Tu veux rien avoir à faire avec ses femmes. Calmer ta soif, c’est approuver toute cette mascarade. Les toutous font leur cirque pour les faveurs de leur maitre. Nauséabonde vision. Lui tu le crains. Non pas, contrairement aux autres, parce qu’il est le symbole de la force, c’est celui qui peut te broyer avec seulement quelques mots bien taillés, bien mariés. Non toi t’as peur de faire perler la déception dans le fond de ses pupilles. T’as peur de lui montrer à quel point t’es la défaillance de votre groupe d'amis sans faiblesses. Tu redoutes sa réaction parce que tu sais qu’il ne te laisseras jamais tomber, il a toujours été là pour toi. Et c’est si facile pour lui, que tu sois toujours redevable, que sans son ombre sur toi, tu ne sois rien.
Ce qu’il lui arrive. Vaste champ de possibles, immensité de l’inconnu. Il t’arrive toujours trop de choses à toi, t’es un aimant à problème. T’es celui qui prend ses précautions mais qui se retrouve toujours la corde au cou, à suffoquer en appelant à l’aide. T’es vraiment pitoyable. « J’ai pas pu faire la dernière livraison. En fait, je me suis fait avoir. » T’as fait ton choix dans ta réponse, c’est pour ça que t’es là, parce que cette situation tu ne sais pas comment l’arranger. Les yeux ballants, ton regard évite le sien. Lui qui te subordonne à sa présence. Tu ne fais pas le fière en allant t’asseoir à ses côtés.
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Un soir, alors qu’il avait 10 ans, il se promenait avec sa mère lorsqu’elle fut attaquée par un gang, il n’a rien pu faire à part se cacher dans les ombres et observer la macabre mise à mort. Il a observé de longues minutes l’agonie de sa mère lorsque son souffle sacré le quittait, sa main sur son coeur sanguinolent. Aspiré par la prostration et la fascination lugubre, Clovis n’a pas cillé. Il l’a laissée rejoindre l’autre monde dans une prière maladroite d’un garçonnet. Jonché du haut de ses 10 ans, il s’est levé et a crié tout ce que son pauvre coeur contenait, il demandait à l’aide, tout en suppliant que sa maman revienne.
Son père lui en a terriblement voulu, étourdissant le petit garçons de mots bas, des mots qui résonnent encore sous son crâne : « incapable, tu n’as pas su protéger ta mère, si elle est morte c’est de ta faute, tu n’es pas assez fort, un vrai homme aurait fait quelque chose, bon à rien, moins que rien.. j’aurais préféré que ce soit toi à sa place. »
Clovis a une piètre image de lui même, mais si il y a quelqu’un qui méprise bien plus encore, c’est son paternel. Entre eux la cohabitation est électrique, dès la disparition de sa mère, Clovis a commencé à n’en faire qu’à sa tête, surtout dès qu’il a vu les nouvelles femmes de son père défiler sous ses yeux impuissants. Il a tout fait à chaque fois, pour les pousser dehors, les dégouter de ce paternel qui n’avait aucun respect pour sa défunte adorée. Son père ne s’est jamais remarié, et c’est peut-être encore plus insupportable aux yeux de Clovis, des aventures sans lendemain.. l’amour qui ne passe plus jamais le pas de la porte. Seulement l’éphémère, le désinvolte..
Au lycée, il ne se socialise pas, il se sent en marge, toujours un secret caché dans la poche de son sweat. La nuit, il rode dans les rues, à la recherche des assassins de sa mère. Son unique obsession, lui rendre justice, faire justice à ce monde, défendre ceux qui ne le peuvent pas. Pourtant Clovis, derrière son air vaillant, il bouffe la poussière à grandes bouchées. Il gagne rarement ses combats, fini souvent par terre à se tenir le ventre. Il reste digne, animé par son but ultime. Le jour, il arpentait les couloirs du lycée la tête baissée pour cacher ses plaies, il était invisible, souvent le nez sur sa console de jeu.
A l’université, c’est la même rengaine, mais ce détachement lui vaut une certaine popularité, un peu effacé, il est devenu ce mystère. Il a quand même pris le temps de se faire des amis, de s’ouvrir un peu aux autres. Mais sa double vie l’empêche de profiter pleinement des joies adolescentes, la nuit, au lieu de faire la fête et d’aller toucher des couleurs incandescentes, il continue sa traque.
Il a quand même pu rejoindre l’équipe de tennis de l’université, il gagne en agilité, en force, en vivacité. Un choix stratégique, même si il s’avère qu’il prend plaisir à jouer, c’est la première passion qu’il se trouve après ses jeux vidéos et ses mangas. Il s’y épanouie comme il ne l’a jamais fait en 18 années de vie. Il n’en reste pas moins un petit mec incontrôlable quand il a une idée en tête, impulsif, guidé par ses idéaux.
Dans le cadre du club de tennis, il est parti plusieurs mois partout en Europe pour un tournois universitaire. Il en revient à la fin du mois de juin victorieux. Il a refusé d’y aller les premiers jours, il ne voulait pas faire de pause dans son enquête effrénée
01. quel est ton signe astrologique ? Sagittaire / 02. ton parfum de glace préféré ? Pistache / 03. quelle est ta chanson préférée ? Birds are born to fly / 04. le film que tu adores ? Tous les Dark Night. / 05. le personnage de friends qui te corresponds le mieux ? Chandler. / 06. c'est quoi ton pêché mignon ? un truc interdit. / 07. est-ce que tu crois au surnaturel ? ça dépend de l'heure de la journée / 08. c'était quand ton premier baiser ? y a pas si longtemps / 09. tu es plus du genre action ou vérité ? action. / 10. c'est quoi pour toi le date parfait ? I don't date.
pseudo/prénom :écrire ici. / comment as-tu connu dlb ? : écrire ici. / âge :écrire ici. / ton personnage est :inventé/pré-lien/scénario / si pré-lien et scénario : @"prénom et nom"
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