viens on va danser dans la lumière, viens on va échafauder des rêves à se brûler les artères
nom :Comme un nom d'taulard, comme le blaz d'un tocard inoubliable. Hartémis le bobard avec ses effluves de bâtard, qui t'étreint le cœur comme l'pire des cauchemar. Hartémis, l'surnom attribué dans la rue, qui s’essouffle en Hart dans la bouche des flemmards. Hartémis insupportable comme le cagnard, tranchant comme les poignards. Hartémis, la progéniture du chaos, sans ligné, sans bouillie sentimentale dans les artères. / prénom :levi le prénom qu'il oublie quand la fumée danse dans ses songes, quand il se dissocie pour l'amnésie assassine. / / date et lieu de naissance :15 avril 1999 à new-york / âge :: 23 années que le ciel lui crache dessus, ces cieux miroirs et quand il les contemple, ce n’est que lui-même qu'il mire. Pas un ailleurs où il pourrait convertir ses années de douleur en gloire et paix. Il a rien à échanger, vrai toquard des trottoirs, il écume les années mais pas les exploits. Dans le fond il n'a pas d’âge, qu’des mains sales, puantes d’hémoglobine. / nationalitéaméricain / métier :Étudiant en sociologie qui se pavane mortifère, les crocs souriants d'un p'tit gosse qui traine ses peccadilles, les doigts déjà maculés de sa dernière bêtise. /situation financière :moyenne / statut civile & orientation sexuelle :en couple avec Emil / groupe :spencer / avatar :vinnie hacker
moodboard; musique folk & rock, superstitieux, étudiant en sociologie, art lover, all arts, anarchiste non assumé, avocat du diable, boys with a big b(eauty), due to lack of interest, tomorrow has been canceled, girls with a small g(lam), sk8ter boi when he isn't a fuck boi, coke addict, hate clichés but can't help being one. groupie de twenty one pilots, concerts all the time. says "looks don't matter" but it freaking does, tinder addict (meaning sex addict), I was born a choker nobody's comin' for me. Vole les chats quand leurs propriétaires ont le dos tourné. Likes when people purr in his ears.
De new-york il a tout pris. l'insouciance et l'arrogante froideur, les ouvrages qui servent de table d'appoint, le cynisme pseudo romantique, les "you suck" distillés à l'eau de rose pour flirter, la vulgarité qui se cache dans des mots compliqués. le sourire anti-social et la fausse courtoisie des gens pressés. il a été digéré par la grande pomme, il était habité par-elle à défaut d'être son occupant. il aimait ça, la vitesse, l'outrage des citadins, les étoiles invisibles et la fumée derrière les building qui s'élèvent, insolents, vers les dieux. il aimait l'anonymat dans la cité interdite, où les excès sont cachés aux yeux du divins sous un nappage épais de pollution et d'injures.
NEW-YORK Janvier 2021 Le stylo qui tremble parce que l'âme ne tient pas le coup, la tête dans les bras, à taire des sanglots qui décampent sur papier. Les derniers mots s'amorcent comme des points finaux, les lettres s’enchaînent et c'est l'histoire qui s'abrège. Livaï a conscience qu'une fois les paroles couchées, il ira poignarder la morale sous les yeux des cloportes astrales.
Quel choix on avait ? Vivre, là, maintenant ? A notre époque lugubre, où le plus beau des sourires t'envoie en enfer, où notre espèce est un ramassis de cadavre qui s'empile jusqu'à toucher le ciel. Cette vie là, où les monstres sont cachés sous des visages d'adonis. On aurait pu, faire semblant que nos existences avaient un sens, qu'on allait pas crever la bouche ouverte en guise de geôlier pour les mouches. Mais la vérité, p'tit con, c'est que dans n'importe quelle vie on se serait fait saigner à la fin, on aurait eu le cœur en vrac et les poumons qui lâchent.
Alors t'aurais voulu que je te dise quoi ? T'aurais voulu quoi ?
On aurait pu naître y a deux-cent ans, les scalpes sous les bombes. On aurait connu l'goût de la liberté arrachée et les artères qui fuient. On aurait pas eu le temps de s'aimer, pas eu l'temps de se serrer dans les bras. Tu crois que t'en aurais eu l'temps ? Y avait plus la place pour s'aimer, fallait virer les carcasses pour s'allonger, fallait arrêter de prier pour des Dieux qui ne s'étaient jamais manifestés. T'aurais prié pour moi ? T'aurais eu l'coeur vague et pas la moindre foutue idée de ce qui se passait. T'y serais resté, l'corps endiablé sous les frasques astrales et les pluies d'étoiles. T'aurais été faible comme t'as toujours été. Je t'aurais vu passer l'arme à gauche, ton sourire de parfait abruti naïf comme dernière vision, le sang en travers de la gueule. Et t'aurais été beau, ouais, t'aurais quand même été beau.
C'est cette vie là que tu voulais pour nous ? Toi six pieds sous terre, et moi à plus savoir quoi faire.
Non, faut remonter encore plus loin, à une époque aux accents de mythe.
T'aurais perdu ta jeunesse à te foutre des caisses, largué dans des jardins néons, dans le chaos sombre des ivresses interdites. J't'aurais vu là, au milieu des autres désarticulés, qui essaient de chopper un futur qu'on leur a promis. Ils auraient prétendu contrôler la situation, s'inviter dans la danse, parfaits p'tits pantins remontés comme des horloges. Toi, toi t'aurais pas eu besoin de faire du cinéma. T'aurais balancé tes bras, ignoré la pesanteur. T'aurais été ce mec bizarre qu'on a envie d'approcher, parce qu'il a pas peur d'être unique, qu'il est bien avec lui même et son aura de taré. J'le vois très bien ton sourire à faire pâlir les acteurs de la comédie providentielle. J'me vois aussi, à te repérer, désarçonné, accroché à l'inconnu qui fait taire le maniaque qui sommeil en moi. Ou à le faire crier, à lui faire hurler les décibels animales. J'aurais bien vite compris qu'on était pas du même monde, t'aurais probablement été un étudiant en lettre, ou en histoire, parce que t'as toujours aimé ça, raconter ce qu'on a tous enfouie dans des tombeaux. J'aurais essayé de t'approcher, entouré des vapeurs de ma cigarette, le bout des doigts qui crament. Mais j'me serais contenté d'la contemplation maladive, parce que t'aurais été ce mec avec la nana qui fait bander les autres.
C'est cette vie là que t'aurais voulu ? Celle où on était destinés à ne jamais se croiser.
Ce que t'aurais du m'dire, C'est pas qu'on est pas dans la bonne vie, Mais qu'il n'y a aucune vie, où il y a toi, et moi, sur la même ligne.
SAINT-MAXIME (Date inconnue, 2021) Il quitte sa douce amérique pour l'europe. Il quitte son quartier et son microscopique appartement qu'il avait enjolivé d'oeuvres d'art, il quitte son groupe de musique où il était guitariste, quitte son meilleur pour lequel il aurait pu se damner à faire hurler les abîmes, après lui avoir refilé sa lettre. destination "hell's pit" ou "shit hole city" comme il aime renommer saint maxime. un village vu des gratte-ciels. un enfer de bruits de couloir pour son coeur bétonné. Le village de son enfance, où il a passé ses 5 à ses 14 ans. Vague souvenir. thud. thud. thud. thud. toujours ce même bruit sourd quand les lettres dans son esprit forment un magistral "fuck you" et que ses lèvres se dandinent sur un leitmotiv hypocrite "na it's ok man, i don't mind..." you asking me stupid questions. levi il est surement intolérant au jugement, parce qu'il en est l'empereur suprême. dans des traits d'humour il fait de la propagande sur ses idées éhontées, sur ce monde trop étriqué qu'il rêve anarchique. puis il conclut toujours par un "i'm only joking" peaufiné avec les années, parce que personne n'est jamais prêt pour la vérité, quoi qu'on en dise. on s'en sort toujours mieux avec une blague qu'avec une vérité qui vous sectionne la jugulaire.
01. quel est ton signe astrologique ? écrire ici. / 02. ton parfum de glace préféré ? fraise. / 03. quelle est ta chanson préférée ? quelque chose de top/ 04. le film que tu adores ? Le film demon slayer. / 05. le personnage de friends qui te corresponds le mieux ? Michael Scott/ 06. c'est quoi ton pêché mignon ? son mec / 07. est-ce que tu crois au surnaturel ? non / 08. c'était quand ton premier baiser ? trop longtemps avec eva / 09. tu es plus du genre action ou vérité ? action / 10. c'est quoi pour toi le date parfait ? rien de particulier
pseudo/prénom :écrire ici. / comment as-tu connu dlb ? : écrire ici. / âge :écrire ici. / ton personnage est :inventé/pré-lien/scénario / si pré-lien et scénario : @"prénom et nom"
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