with no loving in our souls and no money in our coats.
nom : Le père n’a beau ne pas avoir été là longtemps, s’être éteint très rapidement, il a laissé derrière lui un fils, avec en patronyme, un nom sans histoire. Les Rossin n’ont jamais fait de bruit, ont suivi leur chemin de vie et se sont éteint dans le plus grands des silences. Lui, très vite, même pas plus haut que trois pommes, a voulu changer les choses, marquer le monde, y laisser une trace — Il n’a pas voulu faire comme papa, s’éteindre et ne laisser derrière lui qu’un fils. Amaury, il veut marquer le monde, comme on laisserait une trace au fer blanc sur une peau immaculée. / prénom : Amaury, par simple affection de la mère pour ce prénom. Et il l’a toujours dit, son prénom sonne beaucoup plus joliment quand il est soufflé par la tendre voix de sa mère. A l’école, le prénom était maudit. Amaury, et ses notes pourraves, Amaury comme comique de la classe — Au final, le prénom colle aux lèvres, soufflé désespérément ou non, le gamin et ses yeux azur marque son monde, pour encore une fois, ne jamais se faire oublier. / date et lieu de naissance : Né dans le Sud de la France, dans une ville voisine à Sainte-Maxime. Le soleil a caressé sa peau dès ses premières semaines, garçon né au printemps, la renaissance. Les cris poussés alors que le soleil apparaissait de plus en plus, en oubliait sa timidité, les bourgeons aux arbres et les journées claires et chaudes. Amaury, il a pointé le bout de son nez en même temps que le soleil, bébé miracle et attendu depuis des années, il a été synonyme de nouvelle vie pour les parents : renouveau, renaissance. / âge : Âgé de vingt-deux ans seulement, il porte encore la jeunesse sur ses traits immaculés. Le visage bien tracé, devenu homme, son visage est intouché par le temps. La peau de bébé, douce et lisse, les yeux azur, hypnotisants, le sourire bien tracé, qui éclaire les journées. Amaury, il est jeune et beau, mais il n’a jamais su l’utiliser à son profit. Trop timide, trop peu confiant. / nationalité : Bébé de la France, il vient d’ici et non d’ailleurs. Malgré ses nombreuses origines qu’il collectionne, il n’y a dans son patronyme que la France qui résonne. Pourtant, souvent, c’est en espagnol qu’on l’entend jurer, et les traces indiennes dans son sang lui sont chères. Papa et maman viennent d’ici et là, mais Amaury, il n’a connu que la France. / métier : Il étudie ce qu’il aime, c’était important pour sa mère, qu’il se dirige vers des études qui l’aimaient et non des études qu’on lui imposait. Ses parents ne possèdent aucun diplôme. Il étudie donc l’art, réellement passionnés, il a la magie aux bouts des doigts. Les arts plastiques comme réelle passion, il n’est pas rare de le voir gribouiller sur son petit carnet, dans des petits croquis jamais finis. En plus de ses études, on le retrouve derrière la caisse d’un magasin de grandes surfaces, en plein centre-ville, il s’y rend dès qu’il a terminé ses heures de cours, afin de se faire de l’argent — qui, bien souvent, manque. /situation financière :Souvent sur la paille, il vit dans un milieu modeste depuis qu’il est très jeune. Il a bien vite compris que l’argent ne tombait pas du ciel, ses parents lui ont rapidement appris la valeur de l’argent, à économiser. Il a toujours gardé précieusement son argent, le dépensait pour de grandes occasions. Dans la moyenne, mais jamais plus, il galère souvent pour les fins de mois, parce qu’il n’est pas réellement bien payé dans cette grande surface. Et bien que son art ne lui rapporte rien, il a déjà récupérés quelques billets en l’échange d’un portait, de peintures, d’art-work. / statut civile & orientation sexuelle : maury ne se pose pas de questions, mais il a toujours été attiré par les femmes, et leurs courbes bien dessinées. Il est seul, sûrement trop maladroit pour conserver une quelconque relation, il n’a eu que des histoires sans suite. Pourtant, Amaury sait aimer — maladroitement, mais il sait aimer. Épris par la même femme depuis qu’il est adolescent, il connaît aussi les peines amoureuses — sanglantes et douloureuses. Le coeur saigne, l’esprit oublie, le corps fuit. / groupe :aria / avatar :Cameron Porras
il a perdu son père lorsqu’il était très jeune, il garde que très peu de souvenirs de celui-ci, mais sa mère en a toujours dit que du bien. il a donc grandi sans père, uniquement avec la présence de sa mère, sans vraiment savoir si le manque de figure paternel l’a réussi ou non. ☾ c’est un étudiant passionné, il aime ce qu’il fait. sa mère lui a toujours laissé le choix, sans jamais critiquer les choix de son fils. il est doué dans ce qu’il fait, mais a tendance à être son pire détracteur par simple modestie. ☾ on le croise souvent dans les rues, les écouteurs vissés dans les oreilles, dans son monde. il pourrait avoir l’air difficilement approchable, mais il ne l’est pas. ☾ il aime le sport, il se défoule de cette façon depuis toujours, mais il a du se calmer depuis qu’il s’est blessé au genou. ☾ il a abandonné son 4x4 pour le remplacer par un vélo, il prétend que dans une petite ville comme sainte-maxime, il est inutile de se déplacer en voiture. les excuses ont été faites pour être utilisée, comme on dit. ☾ il n’est pas rare de le voir traîner dans son 4x4, joint à la main et rêves plein la tête. il s’oublie de cette façon. ☾ il ère toujours près du terrain de basket qu’il occupait beaucoup auparavant, parce qu’il s’y sent bien, même s’il ne peut plus vraiment se dépenser avec les autres garçons. ☾ il a toujours aimé les matières créatives à l’université et au lycée, mais n’a jamais excellé dans les matières plus techniques comme les sciences. ☾ sa mère est une croyante, et même s’il ne fréquentait pas l’église auparavant, il le fait depuis cette rentrée scolaire, comme une façon de se repentir. ☾ il a des sauts d’humeur. il a beau être un gamin plutôt agréable la plupart du temps, il peut être désagréable en un claquement de doigts.
tw: accident de voiture, décès. Habitacle de fer qui les maintiennent hors de l’air glacial extérieur, les corps chauds s’empilent dans la voiture, les rires frappent contre chaque parois et se fait un chemin dans les creux d’oreille de l’un et de l’autre. Parfois, on crie, on s’amuse, surtout sur la banquette arrière — On s’échange un bâton poison, sans savoir ce qu’on a foutu comme herbe sous la feuille de papier qui crame peu à peu. On demande d’augmenter le son de la musique, que la fête ne s’arrête pas, qu’elle continue — Et elle continue. Les iris bleutées du garçon ne quittent pas la route, il fixe même les bandes disparaître sous ses pneus. Parfois, on lui file le joint sur lequel il tire longuement. Le corps ne suit certainement déjà plus. Il a abandonné, Amaury le met à rude épreuve ce soir. Ses poumons crient à l’aide, ses reins les plaint, même si eux aussi ont sûrement pris un bon coup. Ses yeux sont rougis, on ne saura dire si c’est par les larmes ou les drogues, l’esprit divague, dans un enfer alors qu’il pensait connaître (enfin) le paradis. Amaury, il pourrait jurer aller bien. L’ambiance est bonne, festive, on célèbre les vacances qui prennent bientôt fin — c’est un prétexte tout trouver, il ne saurait plus dire par qui. La fête continue, bat son plein, ils emmènent la musique sur les routes désertes, un peu en dehors de Sainte-Maxime. Les morts se réveillent sur leur chemin, la route prend vie. Seulement, il ne suffit que d’une collision pour que la fête connaisse une fin soudaine. Poids contre l’avant de la voiture, il a freiné, il a essayé dans les dernières secondes, mais ça n’a pas suffi. Le corps abandonné traîne plus loin, et ils ne sortiront que dans les minutes suivantes. On tient Amaury à l’écart, parce qu’il est trop sous le choc pour supporter la vue de ce qu’il a fauché, animal ou pas — Ô Dieu ce qu’il espère que c’est un animal sauvage. Les larmes coulent déjà, dans l’instant, il a pété un câble au volant, pendant les longues minutes sordides. C’est sa meilleure amie qui le retient d’aller voir, qui le rassure dans des douceurs soufflées à son oreille. Plus loin, il voit une de ses amies vomir ses tripes, par dessus les barrières qui les séparent de la mer et de la jetée. La fête n’est plus. Leur vie change. Et ce soir, ce n’est pas qu’une vie qui s’éteint, mais toutes celles qui se trouvaient sur ce chemin égaré, à dix minutes hors de Sainte-Maxime, alors que la mer était déchaînée.
01. quel est ton signe astrologique ? taureau. / 02. ton parfum de glace préféré ? fraise. / 03. quelle est ta chanson préférée ? il en a sûrement trop. mais il aime les instrumentals en général. / 04. le film que tu adores ? récemment, son comfort film, c’est little women. / 05. le personnage de friends qui te corresponds le mieux ? même si sa meilleure amie a essayé de le pousser à s’y mettre, il ne regarde pas et ne connaît donc aucun des personnages. / 06. c'est quoi ton pêché mignon ? tout ce qu’il y a de sucré, gourmand comme il est. / 07. est-ce que tu crois au surnaturel ? c’est que dans les films selon lui. / 08. c'était quand ton premier baiser ? une amie, dans la cour de récré, elle a ensuite raconté des rumeurs à son sujet qui l’ont suivi jusqu’au lycée. tout se sait, tout est amplifié. / 09. tu es plus du genre action ou vérité ? vérité. trop lent pour passer à l’action, même s’il aimerait vivre dans le feu de l’action. / 10. c'est quoi pour toi le date parfait ? quelque chose de simple, rien de surfait, juste là pour apprendre à connaître la personne pour ce qu’elle est réellement.
pseudo/prénom :pau. / comment as-tu connu dlb ? : grâce à elo!! / âge : j’ai vieilli depuis la première fois . / ton personnage est :inventé / si pré-lien et scénario : @"prénom et nom"
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