with no loving in our souls and no money in our coats.
nom :Martin / prénom :Néo / date et lieu de naissance :14/07/1994 à Paris / âge :Le quart du siècle / nationalitéfrançais / métier :éboueur la nuit, c'est ton boulot officiel. c'est la couverture idéale. qui irait soupçonner celui qui jette les poubelles ? qui pourrait se douter que dans tes poches se cachent de la drogue ? pas le flic que tu croises /situation financière :pauvre / statut civile & orientation sexuelle :tu es célibataire, même si tu enchaînes quelques histoires, ton cœur n'a de yeux que pour elle mais la raison reste plus forte et te fait fermer les yeux. Tu aimes la gente féminine / groupe :aria / avatar :tayler holder
tu es un faux calme / . tu as manqué cruellement d’amour car tu es le benjamin de cette famille. Puis l'homme de la famille est mort d'un cancer. Alors l’amour que tu as reçu de tes parents t’a permis de comprendre son importance. Tu n’as pu rien dire, ni t’exprimer à ce propos et tout est ressorti dans l’adolescence. / C'est pourquoi tu sais garder ton sang froid, tu es la coupe qui sait se remplir. Seulement quand elle déborde, tu exploses comme une dynamite. Tu ne vois plus rien sur ton passage et tu deviens très dangereux pour les autres et pour toi. Très peu de personnes savent te faire redescendre aussi vite de ta crise. Tu sais que tu as besoin de parler, de t’exprimer, mais tu as appris à laisser à l’intérieur. / Tu es introverti, tu n’exprimes jamais rien. Cela explique pourquoi tu as besoin de ses bras et de ceux de tes proches / Tu restes sociable tu aimes bien faire la fête après le boulot. Ton chagrin d’amour t’a littéralement changé. / Double face askip. avant, tu souriais, tu avais plein de rêves, passionné mais elle t’a quitté sans te dire que c’était toi le problème, que c’était toi qui te leurre dans cette fausse romance. Alors tu joues l’autruche et tu te sers de cette rupture pour faire sortir la bête qui est en toi. Tu es plein d’excuses, tu te fourvoies en te disant que tu gagnes cet argent pour eux. / Tu es monsieur boulet, assez maladroit dans tes paroles mais aussi dans tes actes. Ce qui permet aux gens autour de toi de sacrés fous rire. . / Discret, sociable et protecteur ce sont les trois traits principaux qui te définissent.
01. / Les barreaux, encore ces foutus barreaux. Tu aurais dû passer plus de temps à la salle de sport. Mais non, il a fallu que tu te défoules sur lui. On t’avait dit de simplement de ne l'effrayer pas qu’il finisse à l’hôpital… Mais comme d’habitude, tu en as fait qu’à ta tête… D’habitude tu fais ça pour qu’il paie mais t’en avais marre. Marre de cette frustration et c’est lui qui a pris. Alors tu te retrouves encore derrière ces barreaux. Cela pourrait être amusant dans un certain sens. Tu commences à connaître très bien le gardien, tu sais qu’il aime bien prendre son café vers 3h du matin. Tu sais qu’il a deux enfants et qu’il en a marre de ce job. Puis y a la secrétaire qui devant ses collègues, te snobe et une fois le dos tourné, ouvre grand son décolleté. Il y a ce chef de police qui te colle à la peau depuis quelques semaines, qui se doute que tu ne fasses pas que vider ses poubelles. Mais tu n’es pas pris au sérieux, tu n’es que l’éboueur, il pense que tu vas craquer à cause de ta jeunesse. Une envie de t’aider, une envie que tu ne finisses pas comme ça car il te connaît. Tu dois t’en méfier car s’il te chope, la vérité éclatera. Il veut tout faire pour t’aider, mais on ne peut pas aider celui qu’il ne le désire pas. Seulement, tu sais qu’un jour, tu dépasseras la limite du non-retour. Tu soupires et tu attends la sentence. Tu étais enfermé dans une spirale, tu l’avais voulu et tu ne souhaitais pas t’en sortir. Mais le flic ne le voyait pas comme cela. C’est pourquoi quand tu as vu les barreaux s’ouvrir, tu pensais que quelqu’un avait payé ta caution et que tu allais pouvoir rejoindre ton chez-toi. Une routine dont tu connais que trop bien. Mais non, on t’envoie directement dans une pièce froide et sombre. Il était là, débout, sourcils froncés et avait décidé qu’aujourd’hui, il aurait ta peau. Tu t’assois, tu es habitué à passer à l’interrogatoire alors tu lui offres ton plus beau sourire et tu savais déjà comment cela allait tourner. Tu vois ses perles de sueur, tu savais qu’il était à bout de nerfs, qu’il en avait marre de tes conneries. « Alors Néo, cette fois-ci, je n’irais pas par quatre-chemins, tu me délivres un de tes collègues et je t’éviterais la prison ferme. Eh, j’en ai marre de voir ta tronche, de te voir ici pour les mêmes raisons depuis que tu les connais, depuis que tu bosses pour eux, depuis que tu es jeune. Tu as dépassé le quart du siècle.. Un jour, je ne fermerai plus les yeux, je trouverai ce que tu trames et crois-moi ton père ne sera pas fier. Tu n’en as pas marre sérieusement ? » Le flic se tourne vers toi et toi, tu ne peux t’empêcher de rire. Un rire sarcastique. Tu sais au fond de toi qu’il n’a rien. Tu as l’impression d’écouter un disque en boucle, un disque fatigué à force d’être écouté. « Tu sais très bien que je me saignerais pour eux, sinon on ne se ferait pas souvent ces bla-bla. Ce n’est pas que ton visage m’a manqué, mais je préfère quand c’est ton adjointe qui m’interroge. Au moins avec elle, je finis par être soulagé… Puis tu sais très bien que je ne sais pas de quoi tu parles. Je fais juste mon métier, je vide les ordures et dépouille la population de cette merde. Il m’a poussé, j’ai le droit de réagir. Alors je l’ai juste remis à sa place. Tu sais que dans quelques minutes, ma caution va être payé alors pourquoi tu t’embêtes avec moi ? Je ne t’ai jamais rien demandé. Va voir ta femme et tes enfants et ne me casse pas les couilles. » Il soupire et il sait au fond de lui que tu as raison. « Non cette fois, je t’envoie vers le psychologue peut-être que parler un inconnu ne te fera pas de mal. » Tu hausses un sourcil. « Un inconnu soudoyé par les flics… Tu es si désespéré que ça ? Je suis pas con. » Il te sourit et tu savais que c’était mauvais signe. « Sauf que cela te fera perdre quelques heures de ton temps et je sais que tu as horreur de ça. » Tu te retiens pour ne pas lui montrer que cela te les briser, c’était signe de faiblesse et de victoire pour lui. 02. / Tu te diriges dans la salle d’à côté. Tu vois la femme avec son chignon, ses lunettes qui lui donner un air de mademoiselle jesaistout. Tu t’assois en face d’elle et elle te regardait. Elle t’observait. « Bonjour monsieur Martin, je suis… » Tu l’interromps. « Je sais qui vous êtes, pourquoi vous voulez me voir alors que vous avez tout sur mon dossier ? » Ton arrogance insupportait les autres, mais elle semblait habituée. « Je vois que l’agressivité, c’est votre moyen de défense. Oui, j’ai lu votre dossier. On ne connaît pas votre lieu de naissance, mais votre vie est écrite. Vous êtes éboueur, discret et pourtant vous êtes ici avec moi. Vous passez votre temps dans les soirées. On pourrait croire que vous êtes le type le plus banal au monde mais tout semble montrer que vous cachez quelque chose. Pourtant vous avez un grand frère mais pas le même père. Vous êtes le benjamin de cette famille. Votre père, qui est malheureusement décédé depuis votre adolescence. Votre mère est une camée, qui malheureusement ne s’en sort pas. Vous donnez de l’argent régulièrement aux personnes qui en ont besoin. Un genre de Robin des bois des temps morderne. Mais votre casier judiciaire est aussi grand que vos muscles. En effet, depuis le décès de votre père on vous retrouve dans les règlements de comptes et c’est toujours vous la victime de ces bagarres. Etrange n’est-ce pas ? Je ne suis pas là pour être votre amie, ni votre plan de ce soir. Je suis là pour vous écouter alors si vous avez quelque chose à dire qui ferait que je pourrais vous relâcher le plus vite possible dîtes-le. » Tu la regardes et tu étais impressionné par son implant. Décidément, elle a bien appris sa leçon. Tu sens que tu vas y passer l’après-midi et en plus, elle n’a pas l’air décidé de vouloir être dans ton pieu. « Vous voulez m’entendre parler ? Très bien. Oui, je suis un mauvais garçon et souvent, on dira que c’est parce que je n’ai pas fréquenté les bonnes personnes. Mais je ne trahirais jamais ceux qui m’ont tendu la main pendant que d’autres m’ont tourné le dos. Je n’ai jamais été assez bien quelque part jusqu’à que j'ai mon chez-moi et ma propre liberté. C’est assez paradoxal vu que je me retrouve enfermé ici avec vous. Mais au moins je fais ce qu’il me plaît. C’est sûr que ma gueule d’ange aide assez bien comme vous l’avez remarqué. Vous voulez une histoire touchante ? Je n’en ai pas. Oui, j’aime les femmes et je suis célibataire. Pourquoi je croirais en l’amour ? Bien sûr que j’ai déjà eu une relation sérieuse. Mais même là, lorsque j’ai été confronté à une personne qui était attaché et que j’y croyais à cette histoire, elle me quitte. Je pourrais m’attacher à ma meilleure amie, mais à quoi cela lui servirait ? C’est juste une faiblesse. Les amis, les proches, c’est mieux de les avoir quand on a besoin de parler, de se confier, de passer un moment à rire ou de se déchirer toute une soirée. J’ai ces gens-là autour de moi. J’ai elle depuis tellement de temps et cela me va. Je n’ai pas besoin de plus ou de moins. J’ai un job qui me convient et qui me plaît. Ils m’ont accepté pendant que d’autres essayer de trouver des solutions sur mon cas comme vous le faîtes-vous. Alors ne perdez pas votre temps, relâchez-moi. Je retournerai dans mon pieu, je me consolerai auprès d’une courbe féminine, j’irai travailler et je reprendrai mon train-train. On se reverra sûrement dans quelques mois et alors ? Vous faites votre job et moi le mien. » Elle soupire et un flic vient ouvrir la porte. « Désolé de vous interrompre, mais sa caution a été payé. » Tu te lèves et tu affiches ton plus grand sourire. « Allez-vous embêter avec un autre cas, moi la différence de tous les autres de vos patients, c’est que je n’ai jamais souhaité d’être aidé, ma vie me plaît ainsi. » Tu la laisses avec cette dernière réplique. Tu vas récupérer tes affaires. Tu savais que ton frère allait te passer un savon, mais tu t’en fichais. Tu te ferais pardonner comme tu sais si bien le faire. Tu avais juste hâte de retrouver ton lit pour dormir et démarrer une nouvelle journée. 3. / La famille, le lien le plus sacré, tu te saignes pour elle. Tu es le benjamin. Celui qui porte ta famille sur tes épaules, c’est ton grand frère : Mike. Vous n’avez pas le même père et vous partagez une mère. Même si elle n’est pas parfaite, à la différence de Mike, tu crois qu’un jour, elle va guérir de son addiction. Tu fais tout pour l’aider. Tu ne t’y attendais pas, c’est arrivé bien trop vite. Tu te revois en train de revenir de l’école au bras de ta copine. À l’époque, tu ne voyais pas déjà que tu te fourvoyais. Tu n’étais pas prêt à le voir à terre dans le salon. Ta mère était sortie pour aller faire les courses. Tu t’en souviens de ses journées à l’hôpital qui ont suivi. De la nouvelle qui est tombée sans que tu l’acceptes. Un cancer, juste quelques mois à vivre. « Je me sens inutile de ne pas pouvoir l’aider, ce cancer le mutile… » Cette chanson qui te fait encore pleurer aujourd’hui. Ces mots qui te touchent au plus profond de ton âme. Tu l’as accompagné dans ces derniers instants, dans son dernier souffle. Puis il a fini par partir pendant la période de Noël. Cette fête que tu trouves triste sans lui. Tu n’as pas eu le temps de faire ton deuil, tu n’as pas eu le temps de grandir. Tu savais bien que ta mère n’allait pas survivre. Alors tu bâcles tes études et tu prends ce métier d’éboueur. Seulement cela ne suffit pas, cela ne vous aide pas. 4. / Tu étais perdu dans ce chagrin impensable. Tu étais triste qu’elle t’ait quitté sans en comprendre la raison. Tu croyais dur comme fer que votre histoire allait durer. Tu n’as pas compris pourquoi du jour au lendemain, elle t’a lâché. Cœur anéanti, tu as commencé à trainer aux endroits où il ne fallait pas. Puis il y a eu lui, ton frère qui t’a remarqué. Tu lui rappelais les années perdues, les années de fougue, de passion. Il t’a tendu la main et tu l’as prise. Au départ, c’était juste surveiller pendant que tu travaillais. Puis il a décidé que tu serais son protégé. Tu l’écoutais sans te poser de questions. Tu étais capable de tout comme du meilleur et de pire. Tu aurais pu être le nouveau qui dérange, mais au contraire, ta discrétion était appréciée. Seulement, tu enchaînes les boulettes, tu dois encore trouver ta place et apprendre de ta maladresse. Maintenant, tu prends ton pied lorsque tu renverses les têtes. Tu as appris à observer et analyser les faiblesses de chacun pour t’en servir à bon escient. Pour les gens, tu es le simple éboueur pour d’autres, tu es craint. Dans la bande, tu es l’ours. Ils savent qu’une bête dort en toi. Une bête qui ressort que lorsqu’on la titille un peu trop. Tout le monde a peur de tes crises où seul ton corps agit et tu deviens incontrôlable. Mais être dans sa bande, cela veut dire être protégé. Tu ne crains rien et tu en joues. 5. / Ton tout, ton rien, ta joie, ton soleil, ta faiblesse. Tu la connais depuis tout petit. Votre amitié est une évidence. C’est fusionnel, tout est dit sans l’être. Elle t’écoute, elle a suivi ton chagrin d’amour et toujours là pour toi. Pourtant, elle ne sait pas ton sombre secret. Elle sait que pour elle, tu es prêt à te saigner les veines. Elle sait que tu es un faux calme comme elle sait que c’est elle qui a le don te calmer. Douce, rêveuse, un peu naïve, elle est ton contraire. Elle te tempère, elle te calme, c’est ta dose. Elle te fait rêver, elle te fait planer. Seulement, tu as peur. Peur de lui dire ce que tu fais réellement, peur qu’elle te juge. Peur qu’elle soit vexée de n’avoir jamais rien dit. Tu sais qu’elle aussi à ses secrets, tu sais qu’elle aussi elle est abîmée. Tu le vois dans ses cauchemars quand elle cherche du réconfort auprès de tes bras. Mais elle se tait, elle ne dit rien, tout est normal. Puis y a ce doute, ce mot que vous n’expliquez pas sur votre relation. Cela rend fous vos exs, vos amis, votre entourage. Pour eux, y a ce plus, pour vous c’est juste normal d’être comme ça. Normal d’avoir besoin de ses bras, normal qu’elle partage tes microbes quand tu es malade. Normal de se parler, de se toucher sans franchir la limite. Y a ce mais qui est là ? Ce mais qui dérange pour franchir le cap. Ce mais qui fait que vous préférez ignorer les autres, être dans votre bulle. Pour toi, elle n’a besoin que de toi et pas d’autres hommes dans sa vie. Pour elle, tu as n’as besoin que d’elle et tu n’as pas besoin d’une autre femme dans ta vie. Relation malsaine, votre tête vous dit que cela serait une erreur d’unir vos lèvres au moins une fois. Vos cœurs crient à l’unisson de jeter la raison par la fenêtre et former qu’un. Le plus mais non. C’est la meilleure amie, c’est la dame de cœur. 6. / Tu es un homme de la nuit. Un homme qui dort la journée pendant que d’autres travaillent. Mais tu aimes t’amuser, tu aimes aller dans des bars après ton travail. C’est là où la clientèle est le plus dense. Tu tiens assez bien l’alcool. Tu fumes des clopes régulièrement et bien plus en compagnie de tes potes. Il faut bien tester la marchandise. Parfois, tu te retrouves dans les courbes d’une demoiselle. C’est simplement physique. Tu as déjà eu des relations sérieuses, mais cela n’a mené à rien. 7. / Tu n’as pas toujours vécu à St Maxime. Non avant, tu habitais à Paris. Cependant, après le décès de ton port à l’adolescence, tu as préféré aller à St Maxime. Le prendre comme un nouveau départ. Grâce à ça, tu as pu croiser ton ainé de nouveau. 8. / Cela peut paraître un peu gnan-gnan mais tu adores Disney. Cela t’a permis de t’échapper de la réalité. D’échapper à tes responsabilités un instant. Tu aimes beaucoup la belle et la bête va savoir pourquoi. T’aimes l’idée qu’au-delà des apparences, la personne peut tomber amoureuse. Mais tu adores aussi Peter pan. Tu rêvais souvent d’aller dans ce pays imaginaire et pouvoir rendre fou le capitaine crochet. Même si tu n’as jamais mis un pied à Disney, peut-être qu’un jour t’y arriveras.
01. ta maison à poudlard ? Serpentard. / 02. ton patronus ? Un ours.03. l'odeur qui te plaît le plus ? la clope. / 04. un super-pouvoir ? Pouvoir lire dans les pensée. / 05. noir, blanc ou gris ? Gris. / 06. tu préfère la neige ou le soleil ? Le soleil / 07. le voyage que tu rêves de faire ? aller à Amsterdam. / 08. carapuce, bulbizarre ou salamèche ? carapuce. / 09. marvel ou dc comics ?marvel. / 10. rock ou rap ? rap.
pseudo/prénom :lodize/elodie. / comment as-tu connu DLB ? : par MP sur bazzart. / âge :25 ans. / ton personnage est :inventé en duo avec Mike / si pré-lien et scénario : @"prénom et nom"
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